- La division des mots en fin de ligne respecte l'original.
- Les coquilles et erreurs manifestes de l'original ne sont corrigées que dans les versions régularisées.
- Les mots illisibles ou manquants sont réintroduits chaque fois qu’il est possible de les reconstituer.
- La présentation du texte suit d'aussi près que possible la disposition et les choix typographiques de l'ouvrage collationné.
- Les lettres ornées sont transformées en petites capitales ordinaires.
- Dans les versions régularisées, les i/j et u/v sont dissimilés ; à / a, où / ou, là / la sont distingués.
- L’accentuation est réintroduite sur les participes passés des verbes du 1er groupe et les mots finissant en -é
- Quand elle existe, l’accentuation du texte source est respectée, sauf si son maintien crée une ambiguïté et compromet la bonne compréhension du texte (par exemple « né » à la place de « ne/ni »).
- Les cédilles sont introduites dans les versions régularisées lorsqu’elles manquent dans le texte source.
- Les abréviations, y compris les tildes et les esperluettes, sont maintenues dans la version originale - diplomatique, résolues dans toutes les autres versions.
- Dans les versions régularisées, les apostrophes sont réintroduites lorsqu’elles manquent, supprimées lorsque leur présence compromet la bonne compréhension du texte (par exemple « d’advantaige » et « dadvantaige »), décalées quand l'usage actuel l'exige.
- Les mots agglutinés sont séparés dans les versions régularisées.
- La ponctuation et l’usage des majuscules de la source sont respectés dans les versions originales, corrigés dans les versions régularisées lorsqu’ils compromettent la bonne compréhension du texte ou qu'ils contreviennent radicalement à l'usage actuel (par exemple « le carquois D'amour » pour « le carquois d'Amour »)
Date de la publication imprimée
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Al’imitation de l’Archer,
qui son Arc desbende pour
à meilleur exercice le reser-
crates
Philosophie à
hault estude,
L
lebre Nom que le mien, s’y sont esbatu :
ment
sent, plus louable sacrifice à ma Nation, que d’illu
strer sa L
à ceste fin, que la haultesse de ton humilité
gne quelque foy de plus grande occupation lassée
à si bas passetemps se demettre. Lequel facilement
ton sacr
fection tienne en
cuser plus grande faulte, que ne pourroit pecher
l’ignorance de la mienne en
tion
vouloir par mon vain
lumiere de tes vertus, ay bien osé abuser de la
bonnaireté
les Princesses que
niere
tant humbles
Et
quentation des fructueux
giers, l’asperité
tant nous est la Nature par sa di
moins belle qu’amyable. Parquoy apres estre
ass
haultes
stienne tresheureusement au
nulle aultre, abonde, te pourras delecter en ceste
mienne vaine
trement
palle
Terre,
se saul
fragments de sa navire rompue,
à
blement elle se veoit quelque foy per
pourra mettre plus haulte, non toute foy sienne,
nostre grand
ment te pourras esbattre pour la di
des
genieusement bien trou
puisse valoir le mien en
loir, puisque la mienne sotte
pourra (
l'
tre nostre siecle des belles treserudite, des erudites
tres belle
ancienne prudence, de
maines
douée, recep
naufrage par di
finablement en petits
en ce tien
modément se retirent, asseurément arri
ploreront perpetuelle prosperité,
ble pardon de ta trop plus qu’humaine ingenuité
de ma trop grande temerité, peult estre offencée.
Faisant fin,
teur de toutes choses,
Pro